Entre corporatisme parlementaire et Autoritarisme présidentiel, l’introuvable état de droit (sous occupation étrangère)
La question banale à l’ouverture de toute enquête est de savoir à qui profite le crime ? Pour y répondre, en l’espèce, plaçons les faits sous l’éclairage du contexte général de leur survenance. On se situe à une nouvelle étape décisive dans le renforcement de la tutelle internationale exprimée par l’imposition du Sieur Garry Conille, parachuté d’ou l’on sait par qui nous savons, comme chef de gouvernement, ratifié par les honorables parlementaires en violation flagrante de la constitution, en échange de sous- postes ministériels. Cet événement devait marquer un partage plus équilibré des responsabilités, dans la liquidation de la souveraineté nationale, tenant compte de l’appétit des uns et des autres. Il s’agit surtout de gérer les frustrations des affidés locaux qui sont hors du camp présidentiel, tout en dégonflant un petit peu la mégalomanie affichée par le chef de l’exécutif.